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Le traditionnel bœuf gros sel au menu du pardon des Fontaines

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Chantal Bihoes, présidente des amis de la chapelle des Fontaines (à droite), et quelques-uns des fidèles bénévoles du quartier qui organisent chaque été la fête autour du pardon.

Chantal Bihoes, présidente des amis de la chapelle des Fontaines (à droite), et quelques-uns des fidèles bénévoles du quartier qui organisent chaque été la fête autour du pardon.

Le pardon des Fontaines est un rendez-vous incontournable dans l’agenda festif de Bignan. « Il a été relancé en 1995 par Yves Picaud, à qui nous allons rendre hommage puisqu’il vient de nous quitter », explique Chantal Bihoes, la présidente des amis de la chapelle des fontaines. Il a lieu chaque année le deuxième dimanche d’août, le jour de la fête de Saint-Laurent.

Depuis deux ans, les chevaux sont à nouveau présents « grâce au père Firmin qui a accepté de les bénir, comme autrefois. »

L’an dernier, 17 chevaux appartenant à des randonneurs du secteur ont été bénis. Ils le seront à nouveau cette année, après la messe (celle-ci a lieu à 11 h).

Dans le quartier, les anciens se souviennent encore de ces bénédictions des chevaux qui ont été jusqu’à 130 lors du pardon. A cette époque on les ornait de fleurs » poursuit Chantal Bihoès.

Plus de 1 000 convives attendus

Après le traditionnel pardon, la fête se poursuit sur le terrain acquis par l’association, à quelques centaines de mètres de la chapelle. C’est là que sera servi le traditionnel bœuf gros sel cuit dans des chaudières, comme autrefois, le midi.

Une centaine de bénévoles sont mobilisés pour servir le repas qui accueille en moyenne près de 600 personnes !

La fête continue tout l’après-midi avec un concours de palet sur planche (à partir de 13 h 30), des jeux, le tout en musique, avec la présence de deux groupes, à partir de 16 h : Blev Gwenn et Remung Braz.

Le soir, on remet le couvert avec des grillades (saucisses), et des tripes, préparées au chaudron.

Autant de convives sont attendus autour de la table que le midi ! Pas de quoi effrayer l’équipe. « Nous avons une organisation bien rôdée », commentent-ils.

Infos pratiques. Messe à 11 h. Repas du midi, à partir de 12 h 30, 13 euros boisson comprise. Le soir tripes 8 euros.


Météo jeudi 8 août : pluies et vents dans la soirée pour le Morbihan

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Sale matinée de prévue ce jeudi matin

Sale matinée de prévue ce jeudi matin (©Météo-Bretagne)

Le temps va se couvrir dans la matinée de ce jeudi 8 août 2019 annonce Météo-Bretagne. Le temps va se gâter surtout dans la matinée avec des petites averses vers Plouay, Lanester ou Pontivy. L’est du Morbihan sera un peu plus dégagé. 

Les températures seront douces au lever. On relève 14 à Questembert là où il y aura des éclaircies. Sous les nuages comptez autour de 15° à Locminé, 18° à Carnac et Le Fouët. Les maximales seront pour Lorient avec 19°.

Une après-midi calme avant une nuit de tempête

L’après-midi devrait être plus calme avec quelques éclaircies dans le département. Mais le vent va se lever petit à petit emmenant nuages et forte houle. De grosses averses sont ensuite attendues dans la soirée notamment près des côtes avec un vent soufflant jusqu’à 70km/h. 

De fortes rafales sont attendues dans la nuit de jeudi à vendredi

De fortes rafales sont attendues dans la nuit de jeudi à vendredi (©Météo-Bretagne)

Les températures restent très douces et en hausse. On attend 23° sur Groix, 24° à Quiberon, 25° à Gourin ou Vannes avec des maximales de 26° pour Ploërmel et même 27° à Saint-Nicolas-de-Redon.

Ce jeudi 8 août sera l'après-midi le plus chaud de la semaine dans le Morbihan

Ce jeudi 8 août sera l’après-midi le plus chaud de la semaine dans le Morbihan (©Météo-Bretagne)

Semaines musicales à Quimper : musique classique et passion latine, du 10 au 17 août 2019

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Kristi Gjezi, Florian Noack (©Danilo Floreani) et Mauricio Diaz Alvarez.

Kristi Gjezi, Florian Noack (©Danilo Floreani) et Mauricio Diaz Alvarez.

Passion latine, ce sera le thème de la 41e édition des Semaines musicales de Quimper, festival de musique classique. Andoni Aguirre, président et codirecteur artistique, présente :

Nous naviguerons entre différents mondes latins : de la virtuosité baroque italienne aux langoureuses folies d’Espagne, jusqu’au sensuel tango de Buenos Aires en passant par le son cubain… La cumbia colombienne et les musiques brésiliennes cohabiteront joyeusement avec des musiques traditionnelles du bassin méditerranéen ou de la musique romantique. 

Chaque soir se tiendront un ou deux concerts parmi lesquels le chef-d’œuvre Les Quatre saisons de Vivaldi, joué en la cathédrale Saint-Corentin, mardi 13 août, par l’ensemble Camerata Venezia avec le violoniste Kristi Gjezi, la présence des grands pianistes Florian Noack, Jean-François Heisser et Marie-Josèphe Jude, du Mexicain Mauricio Diaz Alvarez (guitare) et de la légende de l’accordéon Richard Galliano.

Hors les murs

Le festival sortira des salles de concert avec des prestations notamment dans la cour du musée départemental breton. La comédienne Émilie Coiteux y donnera par exemple le spectacle La caravane enchantée, inspirée de la vie de Mozart, dans une caravane qui hébergera aussi des séances d’écoute musicale.

Dans cette même cour seront donnés des concerts les 10, 12 et 13 août à 17 h (à prix libre). Ainsi que des concerts donnés par des musiciens amateurs à confirmés que le festival accompagne.

À noter aussi, l’escale bretonne d’un pianoforte (ancêtre du piano de l’époque de Mozart) qui sera accueilli dans le musée départemental breton et autour duquel se dérouleront trois concerts (les 14, 16 et 17 août à 17 h). Seront jouées des œuvres de Mozart et Beethoven, par un quatuor pianoforte, violoncelle, violon et alto.

Participez activement !

Les chanteurs et musiciens soufflants amateurs peuvent prendre une part active dans le programme du festival en intégrant le chœur citoyen ou la fanfare éphémère (inscription au 06 71 39 81 71).

Tout un chacun pourra, aussi, se mettre en scène et jouer sur quatre pianos mis à disposition dans la cour du musée breton, à la médiathèque Alain-Gérard et au restaurant Chez Max, à Quimper.

A Saint-Fraimbault, Jean-Marc Poiriez expose « Entre terre et mer » au restaurant du village

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Jean-Marc Poiriez (à droite) en compagnie de Lysandre, la gérante du bar Au Point Nommé.

Jean-Marc Poiriez (à droite) en compagnie de Lysandre, la gérante du bar Au Point Nommé de Saint-Fraimbault (Orne).

Voila maintenant 2 ans que s’est produit l’événement qui a déclenché la passion de Jean-Marc Poiriez pour la peinture. Le président de l’association du club de peinture de Domfront (Orne), Marcel Gentil a organisé une journée pour faire des escapades dans les rues de Domfront dans le but de dessiner. Journée à laquelle Jean-Marc Poiriez a participé.

Par la suite, le Domfrontais a pris des cours avec un artiste peintre, Daniel Bazile et a réalisé sa première exposition à la médiathèque de la cité médiévale. Il est venu selon ses mots, « à la peinture par hasard par amitié et par amour ».

L’artiste autodidacte expose ainsi son amour de la peinture. Inspiré par Utrillo et surtout par les artistes impressionnistes, il insiste sur le pur plaisir que lui procure l’activité de la peinture. Ses œuvres réalisées à la peinture à l’huile, son matériel de prédilection, puisent leur source dans ses lectures et le monde qui l’entoure. Pour lui, peindre n’est que plaisir.

Chercher la couleur juste qui trouvera sa place en toute simplicité sur une toile, comme un mot dans une phrase. Travailler, faire et défaire jusqu’au moment magique ou le pinceau dit stop. Sans un mot ni un geste de trop

En octobre 2018, Jean-Marc Poiriez a reçu le Prix des jeunes dans le cadre du salon Hubert Benoist à Domfront. En juin dernier, il a eu la chance d’être invité par la mairie de Quiberon. Ainsi, il a peint la ville de Quiberon ainsi que l’île de Ré, ce qui a donné son origine au titre de l’exposition « Entre terre et mer ».

L’exposition « Entre terre et mer » compte 21 tableaux. Elle est gratuite et ouverte à tous.

A Pont-Audemer, passez le "permis sans soucis" et à prix mini !

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Lakdar Kacemi a créé l'association "Permis sans soucis", installée route de Rouen à Pont-Audemer.

Lakdar Kacimi a créé l’association « Permis sans soucis », installée route de Rouen à Pont-Audemer. (©éveil pont-audemer)

S’offrir le permis de conduire est rarement une priorité quand il est déjà difficile de boucler les fins de mois. C’est désormais possible à Pont-Audemer (Eure). Depuis le mercredi 17 juillet, l’auto-école sociale « Permis sans soucis » a ouvert ses portes en plein centre-ville, route de Rouen.

Lire aussi : A Pont-Audemer, les bénévoles d’Alcool Assistance vont poursuivre leurs réunions à thèmes

Le concept est simple : permettre à tous, et notamment aux budgets les plus restreints, d’obtenir le précieux sésame. À l’origine de cette démarche, Lakdar Kacimi, 38 ans, originaire du Havre et installé depuis onze ans à Saint-Etienne-l’Allier.

Une formule à 950 euros

Afin d’aider une population exposée à des difficultés économiques et/ou sociales qui impactent directement les revenus, il propose une formule « tout compris » à 950 euros.

Celle-ci comprend l’inscription aux examens du code et du permis ainsi qu’un forfait de 20 heures de conduite. Le prix peut encore être revu au rabais selon la situation des clients grâce à une remise « calculée selon le même principe que celui de la grille de la CAF ». Il est alors possible d’obtenir des réductions « de 50 à 150 euros ainsi qu’un échelonnage au niveau des paiements », confie-t-il. « C’est vraiment du cas par cas. »

950 €, c’est presque la moitié du tarif moyen de 1 800 euros qu’il faut débourser en France selon une étude réalisée par l’UFC-Que choisir en 2016. Une somme souvent impossible à réunir pour les personnes les plus démunies.

« On a tout mis en œuvre pour que le permis soit accessible à tous », poursuit Lakdar. Si un client a les moyens de s’offrir le permis, je vais l’orienter vers les autres auto-écoles. »

Refusant d’être considéré comme un concurrent « low cost » pour les auto-écoles classiques, c’est donc sous le statut associatif et non celui d’une société qu’il a décidé de lancer son projet :

« J’ai calculé toutes les charges pour me contenter du strict minimum. En tant qu’association, je ne suis pas taxé au niveau de la TVA. »

Deux ans, dont dix mois de formation de moniteur et de sensibilisation à la sécurité routière ont été nécessaires pour finaliser son projet appuyé par l’ADRESS (Agence pour le Redressement Régional de l’Économie Sociale et Solidaire).

Pour les jeunes en réinsertion

Lakdar Kacimi entend cibler les demandeurs d’emploi et plus particulièrement « les jeunes en réinsertion dont la plupart n’ont pas le permis et qui sont bloqués à Pont-Audemer » pour les aider à optimiser leurs chances de retrouver une vie active.
Il a investi ses propres économies dans l’association afin de financer notamment l’achat de matériel et l’installation sur place d’une salle pour étudier le code.

Lakdar Kacemi propose un accompagnent personnalisé. De l'apprentissage du code de la route à celui de la conduite.

Lakdar Kacimi propose un accompagnent personnalisé. De l’apprentissage du code de la route à celui de la conduite. (©éveil pont-audemer)

Lire aussi : Des feux « récompense » pour limiter la vitesse à Bourneville

Épaulé par une secrétaire et une trésorière, il est actuellement en recherche active de subventions pour développer et pérenniser son activité. L’inauguration de « Permis sans soucis » aura lieu le jeudi 26 septembre 2019 à partir de 18 h.

Permis Sans Soucis, 10A route de Rouen, 27500 Pont-Audemer. Téléphone : 09510399001 E-mail : permissanssoucis@hotmail.com

Buigny-saint-Maclou : limitation à 30km/h, urbanisme, bilan... et élections municipales

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Eric Mouton, maire de Buigny-saint-Maclou, a tranché pour le passage à 30km/h partout dans le village... et se dit candidat à sa succession aux municipales du printemps 2020

Eric Mouton, maire de Buigny-saint-Maclou, a tranché pour le passage à 30km/h partout dans le village… et se dit candidat à sa succession aux municipales du printemps 2020

C’est au jeudi 1er août dernier que le conseil municipal de Buigny-Saint-Maclou a choisi d’appliquer la généralisation de la limitation de vitesse à 30 km/h partout dans ce village voisin d’Abbeville.

30 km/h partout

« Il en va d’une demande toujours plus insistante de la population pour la sécurisation de la circulation dans le village » explique Eric Mouton, maire « cela fait plus de dix ans qu’on assiste à une valse-hésitation sur le sujet. Tout le monde n’était pas d’accord sur les méthodes, par exemple certains voulaient des ralentisseurs dont en général tout le monde se plaint du bruit qu’ils font au bout de quelques semaines… Bref, à un moment, il faut trancher : nous avons choisi de généraliser la limitation à 30 km/h ».

En plus de cette mise en vigueur, le maire bugnacois fait valoir des travaux visant à casser la vitesse des voitures mais aussi des camions : « nous avons aussi créé un sens giratoire. Pour autant qu’il soit bien respecté, tout comme la limitation de vitesse, cela ne peut que contribuer à sécuriser la circulation. Après, il en va simplement du respect du Code de la route » confie Eric Mouton.

Coup d’œil dans le rétro

Ce dernier signe actuellement son deuxième mandat, « nous avons bien travaillé, puisqu’il y a eu le gros chantier de la rénovation et l’extension de la salle des fêtes pour près de 240 000 euros, la rénovation intérieure et extérieure de la mairie avec sa mise en accessibilité, la réparation et la sécurisation des vitraux de l’église, la sauvegarde du fameux sapin à côté de la mairie, puis l’effacement des réseaux aériens qui se fait petit à petit, ainsi que la rénovation de la voirie ».

Récemment, la municipalité a créé une trentaine de places de parking supplémentaires autour de l’école : « là encore il s’agissait d’une demande récurrente des parents d’élèves en particulier. Nous avons réussi à faire ces places de stationnement, pour ma part j’aurais préféré des trottoirs et des places enherbées mais les usagers s’en plaignent lorsqu’il pleut entre autres… Pour autant, ce n’est pas un point favorable pour notre classement aux villes et villages fleuris pour lequel nous attendons le passage du jury cette semaine ».

(…)

Fin prêt pour un 3e mandat

Et ce dernier d’étayer : « Tous ces projets ne sont pas toujours faciles à mettre en place, mais on y arrive et c’est passionnant. Pour ma part, je ne fais aucun mystère de mon envie de briguer un troisième mandat de maire. On verra comment les choses vont se faire pour ces municipales qui approchent, en tout cas je suis désormais en retraite depuis le début d’année j’ai le temps, l’énergie et aussi l’expérience depuis 2008 alors… ». Alors effectivement, il reste une liste à boucler : « J’ai été élu sur une volonté de renouveau, peut-être les gens voudront-ils un nouveau maire ? Rien n’est encore fermement décidé, mais si je conduis une liste il faudra aussi des nouveaux venus au sein de l’équipe ».

 

Lire l’intégralité de l’article dans notre édition hebdomadaire du Journal d’Abbeville de ce mercredi 7 août 2019, ou en cliquant ici

 

Alençon plage. Sport et apéro électro

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Sport au programme en ce jeudi 8 août 2019.

Sport au programme en ce jeudi 8 août 2019. (©L’Orne hebdo)

De 17 h à 18 h : sport !

Sortez les baskets et les survêtements de sport. La salle de sport Air fitness propose 20 minutes de MMA (arts martiaux), 20 minutes de fitness et 20 minutes de yoga. 

De 18 h à 22 h : apéro électro !

L’apéro électro sera cette fois dirigée par Origamie. Collectif artistique Normand créé en 2019, composé de musiciens, graphistes, DJ, dessinateurs, comédiens… Ils organisent des événements réunissant diverses disciplines et faisant la promotion de jeunes artistes.

Retrouvez cette bande pour une soirée rythmée par les DJs du collectif qui auront le cœur à vous faire danser sur leur sélection musicale chinée dans les tréfonds d’internet, dans les vieux greniers, extraits des vieilles compiles de papa et des bacs Emmaüs.   

Yvelines. À peine lancée, l'Amap Saint-Martin de Montigny connaît déjà un franc succès

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La distribution de paniers a lieu tous les jeudis soir à la salle paroissiale pour les 40 familles.

La distribution de paniers a lieu tous les jeudis soir à la salle paroissiale pour les 40 familles.

Les légumes s’amoncellent sur la table du jardin de la salle paroissiale de Montigny-le-Bretonneux (Yvelines).

Comme tous les jeudis, c’est la distribution des produits de l’Amap (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) Saint-Martin.

Cette association a été créée il y a près de deux mois par Christine Bouvet, paroissienne de l’église Saint-Martin.

Les 40 places sont déjà parties

Cette démarche s’inscrit dans le cadre de l’Église verte, «une prise de conscience des chrétiens pour changer le monde ».

Mais l’association n’est pas une « Amap confessionnelle», tient à préciser sa fondatrice. Tous les Ignymontains sont les bienvenus.

Et la demande est telle que les 40 places sont parties rapidement et plusieurs personnes sont actuellement sur liste d’attente.

Déjà présidente de l’Amap de Guyancourt, Christine a décidé de lancer une initiative similaire dans sa ville pour « participer au changement du système, afin de consommer en circuit-court, c’est-à-dire sans intermédiaire, et local ».

Après adhésion, les membres de l’association passent des contrats avec des producteurs dont ils souhaitent recevoir les produits.

Les parts de récolte sont payées en début d’année afin de garantir un salaire aux agriculteurs.

Tout est bio et cultivé dans les Yvelines : les légumes viennent de Magny-les-Hameaux, les fruits de la Maison Gaillard aux Alluets-le-Roi, les fromages de chèvre de la ferme de la Noue à La Celle-les-Bordes…

 Les produits sont proposés au rythme des saisons, détaille Christine. Il faut apprendre à être un peu frustré. On va mettre en place des cours de cuisine à la rentrée pour apprendre aux adhérents à cuisiner les légumes de différentes façons, pour ne pas être lassé. »

La bénévole confie, enthousiaste : « L’Amap est un état d’esprit, il faut être acteur de sa consommation ».

Ainsi « chacun participe aux distributions » à tour de rôle et les amapiens sont invités à prêter main-forte aux agriculteurs quand ils en ont besoin.

Un panier solidaire, cofinancé par les adhérents, est également versé à des familles en difficultés financières chaque semaine.

Après le succès de ce lancement, Christine et Jean-Paul, le trésorier, souhaitent créer une deuxième Amap à Montigny.

Seule difficulté, convaincre la mairie de leur laisser une salle à disposition.

Elise Neyret


Carburants au Luxembourg : forte baisse du prix du diesel ce jeudi

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Le prix du diesel baisse dans les stations du Luxembourg jeudi 8 août 2019, comme ici à Dudelange.

Le prix du diesel baisse dans les stations du Luxembourg jeudi 8 août 2019, comme ici à Dudelange. (©Antony Speciale/Lorraine Actu)

Bonne nouvelle pour les utilisateurs de véhicules diesel qui font leur plein au Luxembourg, notamment ceux de Lorraine : le prix du diesel repart à la baisse, ce jeudi 8 juin 2019.

Lire aussi : Carburants au Luxembourg : forte baisse des prix du diesel et de l’essence

Au plus bas depuis la mi-juin

Comme le rapporte le quotidien luxembourgeois L’Essentiel, le diesel baisse de 2,5 centimes à partir de jeudi. Son prix s’établit désormais à 1,085 euro le litre, contre 1,11 euro précédemment. Il s’agit de son plus bas tarif depuis la mi-juin.

Le prix de l’essence, quant à lui, ne change pas depuis une dernière augmentation survenue récemment. Le sans-plomb 95 reste à 1,256 euro le litre tandis que le sans-plomb 98 est toujours établi à 1,32 euro le litre.

Val-d'Oise. Pontoise : une seconde vie pour les dessins de vos enfants

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Diane Bigand réalise, à l’instar des albums photos, des albums avec les dessins des enfants.

Diane Bigand réalise, à l’instar des albums photos, des albums avec les dessins des enfants. (©Y.M)

Diane Bigand est une jeune auto-entrepreneure qui s’est lancée il y a un an en créant Les douces mines à Pontoise (Val-d’Oise). Ce projet est né d’une problématique que beaucoup de parents ont dû rencontrer un jour : l’accumulation des dessins d’enfants. Confrontée à ce besoin de faire de la place, elle a fini par trouver une solution : regrouper ces dessins dans un album.

Une solution pratique

Celui-ci permet de conserver les œuvres de vos petits sans les accumuler dans des boîtes. De plus, ce projet s’est révélé être une idée de cadeau qui plaît beaucoup.

« J’ai eu l’occasion de confectionner deux albums qu’une mère avait décidé d’offrir à ses deux fils pour leur 20 ans. Lorsqu’ils ont redécouvert leurs dessins tous les souvenirs qui allaient avec leur sont revenus en mémoire, ils étaient très émus », affirme Diane Bigand. Le délai entre la commande et la livraison varie entre deux semaines et un mois en fonction de la demande du moment.

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Des nouveautés

Pour se diversifier un peu, un nouveau support devrait prochainement faire son apparition : un tableau composé de plusieurs dessins. « L’idée est d’avoir une sorte de patchwork. Cependant le but est de réussir à fabriquer quelque chose qui pourrait laisser croire qu’il s’agit d’un tableau fait d’une traite et non pas d’un assemblage de dessins », détaille l’auto-entrepreneur.

En plus d’avoir un côté pratique, cette idée de mettre en valeur les dessins de son enfant au travers d’un album peut avoir des effets bénéfiques sur lui. « Déjà cela permet de gagner de la place, et puis j’ai remarqué sur mon fils que le fait d’avoir un livre avec ses dessins lui avait permis de gagner en confiance. »

Yohan MALLIARD

20, rue des Louviers. Tél. : 06 08 18 74 67. Plus d’infos sur https://lesdoucesmines.com/

Au sud de Nantes, le prix des maisons a augmenté de 15 % en dix ans

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Dans le Vignoble, quel que soit le secteur, la valeur
des maisons a pris 15 % en dix ans.

Dans le Vignoble, quel que soit le secteur, la valeur des maisons a pris 15 % en dix ans.

Où en est le marché immobilier dans le Vignoble nantais, en Loire-Atlantique ? Les dernières tendances présentées par la chambre des notaires de Loire-Atlantique, au début de l’été, montrent que la région est toujours très dynamique.

Et qu’investir dans la pierre rapporte encore… beaucoup.

Dans le département, les prix restent élevés. Comptez 2720 € le m2 pour investir dans un appartement ancien (+ 15,9 % en dix ans), 218 000 € pour une maison ancienne (+ 13,5 %) et 67 000 € pour un terrain à bâtir (-4,3 %).

Lire aussi : Près de Nantes, elles veulent créer une colocation pour seniors

Porté par une métropole de Nantes qui tire les prix vers le haut, le territoire du Vignoble nantais, très hétérogène, fait lui aussi la culbute. Du sud au nord, les prix vont presque du simple ou double.

En haut du classement, toujours les deux communes de la métropole nantaise. C’est à Basse-Goulaine et Vertou que les maisons (anciennes) sont les plus chères.

Basse-Goulaine et Vertou en tête du classement

Dans cette première couronne où le prix médian d’un bien est de 270 000 € (valeur qui a pris + 12,5 % sur cinq ans et + 20 % sur dix ans), Basse-Goulaine et Vertou arrivent largement au-dessus.

À Basse-Goulaine, le marché pour acheter une maison se situe autour de 302 900 €. Et de 285 000 à Vertou. Un niveau de prix qui explique le profil des acheteurs. Ces derniers ont 42 ans. Un sur trois est cadre supérieur.

Seconde couronne

Dans la seconde couronne, secteur qui englobe les communes autour du Loroux-Bottereau, Vallet ou Le Bignon, la Haye-Fouassière…, le prix médian des maisons anciennes descend à 230 000 €. Valeur qui a tout de même pris + 15 % en dix ans. Et + 9,3 % sur 5 ans.

Dans son dernier rapport, la chambre des notaires affiche des prix moyens de 225 000 € pour une maison à Saint-Julien-de-Concelles et 200 000 € pour Vallet.

Les terrains à bâtir se vendent à 150 € le m2, autour de 78 300 €. Un chiffre qui est lui en baisse de 8 % sur 5 et 10 ans. Logiquement, le profil sociologique des acquéreurs change.

En moyenne, les acquéreurs ont en moyenne 44 ans. 30 % sont des professions intermédiaires. 19 % sont des cadres supérieurs.

Secteur de Clisson

Reste le secteur de Clisson, secteur rattaché à Machecoul dans la base de données de la chambre des notaires. Dans ce périmètre, les chiffres à prendre avec pincettes indiquent des maisons avec une valeur moyenne de 165 000 € (le prix à Clisson est beaucoup plus élevé).

Un prix qui a quand même progressé de 15, 2 % en 10 ans. Les terrains à bâtir se vendent autour de 52 000 €, à 110 € le m2. Dans ce territoire, 26 % des acheteurs sont acheteurs et 24 % des professions intermédiaires., âgés en moyenne de 41 ans.

Lire aussi : Louer une piscine entre particuliers, c’est possible !

Que des femmes dans le nouveau lotissement à Lamballe

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Pour les rues du lotissement aménagé par Lamotte derrière l'Intermarché de Lamballe, le conseil municipal a choisi des noms de femmes.

Pour les rues du lotissement aménagé par Lamotte derrière l’Intermarché de Lamballe, le conseil municipal a choisi des noms de femmes. (©Jacques Le Bruno – Le Penthièvre)

Camille Claudel est la première femme à donner son nom à une rue du nouveau lotissement qui se construit derrière Intermarché. « Le conseil municipal de Lamballe a décidé de choisir des noms de femmes, des artistes» explique Marie-Christine Cléret, maire déléguée de Maroué. Un choix politique à un moment où il est beaucoup question de l’égalité hommes-femmes.

Colette, de Beauvoir, Yourcenar…

Il y aura donc les rues Colette, Marguerite Yourcenar et Simone de Beauvoir. Il y aura aussi les venelles Marie Laurencin, Pearl Buck et Anjela Duval.

Les seniors rêvent de plain-pied

Anjela Duval ? « Tiens, même une poétesse bretonne » se réjouit Bertrand, jeune trentenaire salarié dans l’agroalimentaire. Lui a réservé un terrain sur ce lotissement des Côteaux du Levant, « c’est bien situé, non loin du centre-ville ».

Un couple de Saint-Glen aussi va s’installer ici. Anciens agriculteurs, « on est à la retraite et on va construire de plain-pied ». Ils pensent qu’avec l’âge, « mieux vaut se rapprocher des services ». Et puis, « on veut un jardin moins grand ».

69 logements vont sortir de terre

C’est le groupe Lamotte qui aménage le nouveau quartier. Il est prévu pour 69 logements : 43 lots libres de 219m2 à 587 m2, 6 lots en accession propriété et 1 lot avec 20 logements locatifs sociaux en collectif (projet BSB, Bâtisseurs sociaux de Bretagne). « 78 % des terrains sont déjà vendus » assure Didier Le Normand, prospecteur foncier pour le lotisseur.

Lire aussi : Plus de 110 nouveaux logements attendus à Lamballe

Premiers habitants en 2020

Les dépôts des permis de construire ont commencé. On pense que les premières maisons vont sortir de terre dès le mois de septembre. En 2020, il y aura donc des familles à y habiter !

Didier Le Normand, tél. 06.17.44.46.39. www.lamotte-amenageur.fr

Les futurs habitants ont été invités par Lamotte et la Ville de Lamballe à découvrir les noms des rues du nouveau lotissement.

Les futurs habitants ont été invités par Lamotte et la Ville de Lamballe à découvrir les noms des rues du nouveau lotissement. (©Le Penthièvre)

Alençon. Le musée du piano s'installera près de la gare

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Pierre Tisseyre et un de ses pianos sur lequel aurait joué Charles Gounod

Pierre Tisseyre et un de ses pianos sur lequel aurait joué Charles Gounod

«  J’ai trouvé un local adapté pour non seulement abriter ma collection de pianos historiques mais aussi pour, sans doute, organiser des visites.

Cet espace est situé près de la gare d’Alençon et la ville a donné son accord de principe pour participer à hauteur de 50 % du paiement du loyer », confie Pierre Tisseyre.

Sa collection  se trouve actuellement cours Clemenceau à Alençon, dans un local du magasin Music Alençon qui souhaite récupérer cet espace pour déployer ses activités. 

Yvelines. Une habitante de Carrières-sur-Seine dénonce un viol chez elle en pleine nuit

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La police a arrêté un homme à Carrières-sur-Seine (Yvelines), accusé d'avoir violé une trentenaire placée sous curatelle renforcée.

La police a arrêté un homme à Carrières-sur-Seine (Yvelines), accusé d’avoir violé une trentenaire placée sous curatelle renforcée. (©78actu – illustration)

Une femme de 36 ans a déposé plainte pour un viol commis chez elle, dans la nuit du mardi 6 au mercredi 7 août, à Carrières-sur-Seine (Yvelines), dans la résidence des Alouettes.

Un homme de 31 ans lui aurait imposé deux actes sexuels.

Dans son récit fait aux policiers, la trentenaire raconte qu’une personne est venue tambouriner à sa porte, vers 3 heures. Elle a ouvert.

L’individu se serait alors engouffré.

Sous la menace, il aurait obtenu qu’elle lui fasse une fellation. Toujours sous la menace, il aurait ensuite un rapport non protégé.

Il reste dormir sur place

Le suspect se serait endormi sur place et serait resté jusqu’à 10 heures.

Ce n’est que dans la soirée de mercredi que la plaignante s’est présentée aux urgences gynécologiques de l’hôpital de Poissy pour recevoir des soins.

S’agissant d’un viol présumé, l’établissement a prévenu les forces de l’ordre. De plus, la trentenaire est considérée comme une personne vulnérable, étant sous curatelle renforcée.

Une fois la plainte déposée, les fonctionnaires ont escorté la victime chez elle. Il était aux alentours de 1h30.

Arrivée dans le hall, elle a désigné un homme comme étant son violeur. Il a été placé en garde à vue.

Le parquet de Versailles a été avisé de la situation.

Les suites ne sont pas encore connues.

Gournay-en-Bray. Le parc de la mairie accessible à tous

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Ces travaux permettent à tous d'accéder facilement au parc de la mairie.

Ces travaux permettent à tous d’accéder facilement au parc de la mairie. (©L’Eclaireur-La Dépêche)

Le parc de la mairie de Gournay-en-Bray est depuis quelques jours plus facilement accessibles aux personnes à mobilité réduite et autres poussettes.

Finis les vieux pavés, certes très beaux, mais peu carrossables, qui permettaient l’accès au parc.

Lire aussi : Gournay-en-Bray. A peine ouverte, la piste de BMX fait déjà de nombreux heureux

Place désormais à un bel enrobé permettant à chacun de profiter pleinement des lieux. Les travaux sont terminés et le parc de l’hôtel de ville est désormais facilement accessible.

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Le chantier touche à sa fin….😉

Publiée par Gournay en Bray Page Certifiée de la Ville sur Samedi 13 juillet 2019


Vidéo. Une montgolfière dans le matin, entre Argentan et Falaise

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Une montgolfière, entre Argentan, Trun et Falaise, le jeudi 8 août 2019.

Une montgolfière, entre Argentan, Trun et Falaise, le jeudi 8 août 2019. (©Le Journal de l’Orne)

Les automobilistes empruntant l’A88 ou l’ancienne RN158 (RD658 dans le Calvados et RD958 dans l’Orne) entre Argentan et Falaise, ont pu apercevoir, ce jeudi 8 août 2019 entre 7 heures et 8 heures, une montgolfière au-dessus de la cime des arbres.

Au-dessus de la poche de Falaise-Chambois

En effet, cette jolie masse s’est déplacée, au fil de l’air, au-dessus des communes de Trun, Ommoy, Merri, Fourches, Crocy… Le tout sous un magnifique lever de soleil du mois d’août.

Une petite flamme, dans le lointain, pour faire remonter l’aéronef de quelques mètres afin de poursuivre le voyage. Peut-être une découverte de la poche de Falaise-Chambois par les airs ?…

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On s’imagine facilement flottant dans les airs, aux côtés du pilote, survolant cette magnifique région chargée d’histoire. 

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Martigné-Ferchaud : les Etincelles aquatiques réveillent l’étang de la Forge

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La pyrotechnie fait partie intégrante du spectacle

La pyrotechnie fait partie intégrante du spectacle (©DR)

Voici venir le temps de la mutation de l’étang de la Forge.

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L’étang et ses espaces naturels environnants changent de jour en jour : scène flottant sur l’étang, un millier de bancs installés sur le champ qui surplombe l’espace aquatique, tours métalliques sur le terrain et sur l’eau, malles remplies de câbles et projecteurs qu’une vingtaine de jeunes installe…

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Il est certain qu’un événement se prépare. Point d’orgue de la saison culturelle martignolaise, l’Été à l’étang, ce sont bien les Étincelles aquatiques qui s’annoncent.

1 000 bénévoles

En plein milieu de la période estivale, plage et étang vont se transformer en scène de spectacle. Les répétitions rythment les soirées des bénévoles et s’enchaînent pour parvenir au niveau d’exigence de qualité déterminé par les organisateurs.

Incontournable Pierrot au clair de lune

Incontournable Pierrot au clair de lune (©DR)

L’expérience paye et certaines mises en place se font naturellement et plus rapidement. Les chiffres de la 25e édition, en 2018, ont montré que le spectacle a toute sa place dans les animations estivales du Pays de la Roche-aux-Fées et que de nouveaux spectateurs font toujours le déplacement.

Du 7 au 10 août, près de 1 000 bénévoles, de 4 à 90 ans, vont démontrer leur investissement pour produire un spectacle de qualité mêlant univers sonore, chorégraphies, acrobaties de cirque, effets visuels et feux d’artifice pendant une heure et demi.

Tout cela mis en valeur par autant de costumes, maquillages et décors imaginés et réalisés par des bénévoles « made in Martigné-Ferchaud ».

Le site naturel de l’étang de la Forge devient alors une gigantesque scène visible depuis la pente qui le surplombe et où sont installées 6 000 places assises grâce à un astucieux montage de bancs en bois.

Un texte de Max Lacheray

À partir de 22 h 15, la nuit tombe, l’orage gronde, le vent siffle dans les arbres. L’étang devient frontière entre rêve et réalité. Les 360 acteurs embarquent alors le public pour 1 h 30 de féerie aquatique et pyrotechnique.

Nouveauté dans l’organisation : la numérotation des bancs que les jeunes de Roche-aux-fées communauté ont réalisée. Un bon moyen d’indiquer sa place à des amis ou aux secours

Nouveauté dans l’organisation : la numérotation des bancs que les jeunes de Roche-aux-fées communauté ont réalisée. Un bon moyen d’indiquer sa place à des amis ou aux secours (©DR)

Sur un texte de Max Lacheray, écrit spécialement pour le spectacle en 1995, les quatre éléments se dévoilent à travers chorégraphies et tableaux vivants à l’invitation des quatre fées issues des légendes du temps passé, mis en valeur par les feux d’artifice de Jean-Maurice Mareau.

La fée de la terre entourée d’étranges créatures qui dansotent.

La fée de l’air aérienne qui fait jouer le vent avec drapeaux, ballons et rubans et accompagnée des numéros de trapèze des élèves de l’école Vents de cirque.

La fée de l’eau qui fait jaillir des gerbes de l’étang et marche à la surface de l’étang puis disparaît d’un plongeon.

La fée du feu flamboyante et fascinante maniant ses bâtons de feux enflamme le moindre mètre carré du site.

Infos pratiques : Du mercredi 7 au samedi 10 août, à 22 h 15, à l’étang de la Forge. Ouverture des portes à 19 h. Restauration sur place. Tarifs sur réservation : 19 € pour les adultes, 10 € de 5 à 15 ans, et gratuit pour les moins de 5 ans. Tarif sur site à partir de 19 h : 21 € pour les adultes, 12 € de 5 à 15 ans, et gratuit pour les moins de 5 ans. Tarifs pour le mercredi et le jeudi : 17 € sur réservation et 19 € sur place. Billets en vente sur www.etincelles-aquatiques.org, au 02 99 47 83 83 ou au syndicat d’initiatives, à Intermarché, à la boulangerie Le Roux, à Martigné-Ferchaud.

Un jeune alpiniste de Seine-Maritime chute dans une crevasse et perd la vie au Pérou

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Dans la cordillère blanche du Pérou, un jeune homme de Seine-Maritime, âgé de 25 ans, est décédé alors qu'il faisait de l'alpinisme.

Dans la cordillère blanche du Pérou, un jeune homme de Seine-Maritime, âgé de 25 ans, est décédé alors qu’il faisait de l’alpinisme. (©Illustration/Wikimedia Commons)

Triste nouvelle. Tom Féréol, 25 ans, un jeune homme originaire de Duclair (Seine-Maritime), est décédé accidentellement, alors qu’il faisait de l’alpinisme au Pérou

Mercredi 31 juillet 2019, alors qu’il marchait à plus de 6 000 mètres d’altitude dans le district de Santa Cruz, dans la province de Huaylas, le jeune homme est tombé accidentellement dans une crevasse. Il était accompagné de deux amis français.

Lire aussi : TÉMOIGNAGE. Le créateur de Heula en Normandie disparu dans une avalanche : « La marque perd son papa »

Décédé sur place

« Sa tête a été touchée dans la chute et il s’est fracturé les jambes, ainsi que le bras droit, précise El Comercio, un journal péruvien. Ses amis ont tenté de le sauver mais il est décédé sur place. » De leurs côtés, ses deux camarades sont sains et saufs, assure le quotidien.

Le décès de Tom Féréol, qui nous a été confirmé par la mairie de Duclair, a suscité un certain émoi sur les réseaux sociaux.

Lire aussi : Le corps du créateur de Heula, disparu dans une avalanche en Savoie, a été retrouvé

Des hommages sur les réseaux sociaux

Le Comité de gestion des centres de vacances (CGCV), une association qui organise des séjours pour les enfants, lui rend un bel hommage sur Facebook : 

Grand sportif, bouillonnant de culture, aventurier et passionné de l’Afrique du Sud, Tom a rayonné tout au long de ces années au sein des séjours du CGCV. Nous pensons beaucoup à ses parents, ses frères et ses cousins, toujours très actifs au sein du CGCV et les soutenons dans cette cruelle épreuve. 

"Salut Tom, Un membre de la famille du CGCV nous a quittés le 2 août lors d'un voyage au Pérou : Tom FEREOL. Colon…

Publiée par CGCV C'est Génial Comme Vacances sur Lundi 5 août 2019

Football. Yoël Armougom, le bon profil du couloir gauche

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Yoël Armougom s'échappe en filant vers le but de Lorient. Il a beaucoup apporté offensivement en deuxième mi-temps.

Yoël Armougom s’échappe en filant vers le but de Lorient. Il a beaucoup apporté offensivement en deuxième mi-temps. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

Parce que tout n’a pas été noir lundi 5 août 2019 contre Lorient, certains Malherbistes ont su se mettre en évidence malgré la défaite concédée. Yoël Armougom, assez anonyme au cours d’une première période passée à subir, a présenté un tout autre visage dans le second acte. Profitant de la réaction collective, il a dynamité le couloir gauche en multipliant les courses vers l’avant. Ses centres, souvent très bons, auraient mérité meilleur sort. Casimir Ninga ne les a pas concrétisés, mais les ballons sont arrivés où il fallait.

Je n’ai pas eu beaucoup de ballons en première mi-temps à part le bon centre vers Casimir. En deuxième mi-temps, j’ai eu plus de ballons et j’ai pu faire valoir mes qualités premières, la vitesse et les centres.

Lire aussi : Football. Les tops et flops du SM Caen après la défaite contre Lorient

Yoël Armougom a le profil qui colle au registre du piston.

Yoël Armougom a le profil qui colle au registre du piston. (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« Je continue d’apprendre »

Au contraire d’un Anthony Gonçalves qu’on devine plus à l’aise dans l’axe que dans le couloir, même si Rui Almeida n’a pas manqué de rappeler qu’il avait surtout joué à droite la saison dernière à Strasbourg, Yoël Armougom colle au profil-type du piston. Si certains de ses coéquipiers semblent encore peu à l’aise dans leur 5-3-2, lui a l’air de passer le cap.

Je continue d’apprendre. Contre Sochaux, j’étais encore un peu timide. Le coach m’avait demandé des choses différentes par rapport à d’habitude. J’essaie de mettre mes qualités au service du collectif. Je vais continuer à jouer de la même façon pour faire en sorte d’aider l’équipe. 

Lire aussi : Football. Le coup-franc de Jessy Deminguet, un petit rayon de soleil dans le ciel de Caen

Comme ses coéquipiers, Yoël Armougom est désormais attendu sur 90 minutes...

Comme ses coéquipiers, Yoël Armougom est désormais attendu sur 90 minutes… (©Aline Chatel / Sport à Caen)

« Plus conquérants en deuxième mi-temps »

Formé au poste de milieu gauche, doté d’une grosse frappe qu’on aimerait voir plus souvent, Yoël Armougom est un latéral naturellement porté vers l’avant. Mais lundi dernier, après le revers concédé face à Lorient, ce n’est pas son cas personnel qui l’importait le plus. « On continue de travailler, de s’adapter au système, disait-il. C’est vrai que ce n’est pas facile parce que la plupart des joueurs ne jouaient pas dans ce système-là auparavant. » Alors le jeune Réunionais préférait positiver.

Il faut retenir le plus important, c’est la deuxième mi-temps. On a montré un visage plus solide et plus conquérant. Si on continue à jouer comme en deuxième mi-temps, on va tout de suite relever la tête et gagner des matchs. Ça va venir.

Le déclic passera peut-être par une prise de conscience : « Il faut tout de suite qu’on se mette dans la tête qu’on a les joueurs pour faire deux mi-temps comme la deuxième. » Yoël Armougom, du haut de ses 21 ans, mérite d’être entendu.

Communes sans transports publics : Le Ferré et le pays de Fougères en exemple sur TF 1

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Louis Pautrel, maire de Le Ferré, et Arnaud Delcourt (TF1).

Louis Pautrel, maire de Le Ferré, et Arnaud Delcourt (TF1). (©Capture d’écran, TF 1)

Les chaînes de télévision ont leurs habitudes à Le Ferré, près de Fougères.

Il y a quelques semaines elles se sont relayées dans la commune pour évoquer l’affluence des demandes de cartes nationales d’identité. Des documents souvent délivrés par le maire lui-même, Louis Pautrel.

La Chronique avait été le premier média à décrire cette situation.

Lire aussi : On vient de loin pour faire sa carte d’identité dans cette petite commune bretonne…

 

Ce mercredi 7 août, Le Ferré a de nouveau été retenue par TF 1, dans son journal de 13 heures, pour illustrer un sujet sur le manque de transports publics dans les communes rurales  (début du sujet à  6 minutes 50).

Fougères à vingt kilomètres, Rennes à soixante, et pas moyen de s’y rendre en bus…

Plusieurs habitants de Le Ferré y décrivent leurs difficultés lorsqu’il s’agit de se rendre dans les villes voisines.

Louis Pautrel, par ailleurs vice-président de l’association des maires ruraux d’Ille-et-Vilaine, étend le débat à l’ensemble des difficultés rencontrées par les petites communes.  

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